Une programmation haut de gamme. Avec par exemple Pipicacadodo (Chiedo asilo) de Marco Ferreri (1980) qui a remarquablement ouvert le festival le 19 février.

Le film-événement Journal d'un maître d'école (Diario di un maestro) de Vittoria de Seta (1973), méconnu en France alors qu'il a eu un franc succès en Italie, retrace de son côté une expérience cinématographique, pédagogique et politique hors norme.

Au vu du programme d'une richesse inouïe et d'une organisation haut de gamme, qu'on ne dise surtout pas que les artistes, la jeunesse, le monde associatif, les territoires et.. le cinéma ne savent pas innover malgré les inqualifiables contraintes qu'on leur fait supporter injustement depuis près d'un an...

Vive le cinéma... en salle !